En gravure, Catherine Reny aime particulièrement travailler la technique du carborundum pour le geste, celui du peintre, et pour ses noirs veloutés, intenses et matiériques.

Dans Sa série des « Deux Antigone » inspirée d’un texte de Henry Bauchau, elle croise cette technique du carborundum avec des papiers japon peints à l’encre. Des noirs denses et profonds du carborundum jaillissent l’éclat de la couleur et la transparence des encres révélant la beauté et la tragédie du texte de Henry Bauchau, entre ombre et lumière.